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Des nouvelles sur l'écologie et les technologie vertes
Des nouvelles sur l'écologie et les technologie vertes
dimanche 30 novembre 2014
Il est rare de voir une île décidée à se passer de carbone. Pourtant, l’île sud-coréenne compte le faire d’ici 2030.
L’île de Jeju en Corée du Sud s’est lancée un défi qu’elle devra surmonter d’ici 2030. En effet, elle souhaite être 100% écolo dans 16 ans. Selon Chan-Won Lee, le représentant sud-coréen, « d’ici 2030, notre objectif est de faire de Jeju une île où l’intégralité du parc automobile sera électrique » et d’ajouter que « depuis quelques années, l’île de Jeju a entamé une politique volontariste en matière de développement des énergies renouvelables, sous la houlette des autorités sud-coréennes. Notre but ? Devenir une île zéro carbone ».
Pour atteindre son objectif, l’île est en train de mettre en place un système visant à réduire la consommation électrique de 10 à 15% tout en diminuant la facture. Ce test qui a connu une grande réussite a été essayé entre 2009 et 2013. Aussi, l’île compte également avoir recours à l’énergie éolienne et photovoltaïque.
En outre, l’île de Jeju compte aussi alimenter son parc automobile avec l’électrique. A ce jour, l’île compte près de 320 milles véhicules dont la plupart utilisent le carburant. L’objectif d’ici 2020 est de faire passer près de 100 000 véhicules à l’électrique. Puis, en 2030, tous les véhicules passeront à l’électrique.
Il faut savoir que l’île de Jeju compte près de 600 000 habitants. Elle est également beaucoup fréquentée par les touristes asiatiques.
jeudi 30 octobre 2014
Le vélo solaire fera désormais partie de votre quotidien. Il a été inventé par deux retraités et a pour caractéristique d’être un vélo électrique alimenté en énergie solaire.
Géniale invention que vient de faire un couple de jeunes retraités, Yves et Edith Brugger. En effet, ils ont lancé un vélo couché électrique, autonome grâce à l’énergie solaire. Ce vélo est doté d’un cylindre orange supportant un panneau solaire de 4,9 kg, un drapeau sur mât, un rétroviseur, un klaxon, un moteur d’assistance électrique, relié à une télécommande et, sur le porte-bagages, une aile high-tech recouverte de 32 cellules photovoltaïques, assurant une autonomie totale de la batterie.
Pour la création de ce vélo solaire, les deux retraités ont bénéficié du soutien de Solar Impulse. Voulant au départ opter pour l’énergie éolienne, ils ont fini par choisir l’énergie solaire suite aux conseils de Joël Sunier, responsable du département cellules photovoltaïques de Solar Impulse.
Pour le moment, le vélo solaire n’est pas encore destiné à la commercialisation comme l’a déclaré Yves Brugger. « Le prix de vente avoisinerait les 10 000 à 15 000 fr., pour quelque 800 heures de travail. C’est parce que nous avons presque tout fait nous-mêmes que nous arrivons à un budget de 5000 fr. »
L’objectif immédiat de ces deux créateurs du vélo solaire est de déposer le brevet de leur prototype et de rechercher également des sponsors afin de financer leur projet.
Le principal problème de ce vélo solaire est qu’il perd 40% d’autonomie après avoir effectué 60 kilomètres.
mardi 23 septembre 2014
Bonne nouvelle pour ceux qui en ont marre d’utiliser des ampoules jetables. Désormais, vous pourrez utiliser une ampoule « sans obsolescence programmée » qui peut durer toute une éternité.
Benito Muros a été l’une des grandes révélations des Entrepreneurs 2014. En effet, cet inventeur espagnol de l’ampoule LED capable de durer 100 ans a reçu des ovations lors de l’organisation de cet événement. En inventant cette ampoule unique en son genre, l’inventeur a signifié que son but était de mettre fin au lobby des ampoules à obsolescence programmée. Il a dès lors créé le mouvement Sin obsolescencia programada afin d’atteindre son objectif.
L’ampoule créée par Benito Muros peut durer entre 80 et 110 ans. Il est même possible de la réparer. Actuellement, cette ampoule est en vente en Espagne à 33,88 euros. Cette ampoule présente l’avantage d’être durable et d’être écologique. Selon son inventeur, 47 millions d’ampoules sont consommées chaque année en Espagne. Dans le monde, c’est plus de 7000 millions d’ampoules qui sont utilisées chaque année.
Par ailleurs, il faut savoir que pour beaucoup de spécialistes, cette ampoule LED n’est pas sans défaut. Même si elle a une longue durée de vie, il faut reconnaître qu’elle consomme beaucoup plus d’électricité.
Vivement que l’invention de Benito Muros soit popularisée dans le monde. La tâche ne sera pas du tout aisée pour l’inventeur espagnol. Il a déjà reçu des menaces de mort et subi des pressions des lobby des ampoules à obsolescence programmée.
dimanche 07 septembre 2014
Désormais, pour recharger vos vélos électriques en France, plus besoin de vous fatiguer. La solution Belectric Drive e-Bike est là pour vous satisfaire. Cette borne e-bike est maintenant présente en France.
Les bornes Belectric Drive e-bike sont disponibles en Allemagne depuis quelques temps. Elles viennent de faire leur apparition en France. Elles permettent de recharger les vélos électriques. Ces bornes sont équipées d’un système de trappes verrouillables, ce qui permet donc à ceux qui souhaitent recharger leurs vélos de placer la batterie amovible de leur VAE à l’intérieur jusqu’à ce qu’elle charge. En outre, la borne e-bike est dotée de 4 points de charge avec prise E/F. Avec cette borne, on peut recharger toutes les VAE du marché.
C’est la solution One qui permet de connecter la borne e-bike. L’opérateur a la possibilité de la manipuler à distance. Par ailleurs, cette borne de recharge de vélos électriques peut être également dotée d’un système de paiement par téléphone mobile, ce qui rend la tâche beaucoup plus facile aux personnes qui souhaitent l’utiliser. L’accès à la borne peut se faire simplement par SMS. Il existe également d’autres moyens d’accès tel que le badge.
La présence de cette borne e-bike représente un véritable soulagement pour les utilisateurs de vélos à assistance électrique. Ils pourront désormais facilement recharger leurs engins. De plus, l’implantation de la borne e-bike peut se faire dans un espace public ou semi-public.
lundi 25 août 2014
Le LightSail, c’est l’engin spatial qu’a conçu Planetary Society, une société américaine. Cet engin devrait être envoyé dans l’espace à l’aide d’une fusée Falcon Heavy de la société SpaceX. Il faut savoir que cet engin spatial ne mesure qu’une trentaine de mètres et ressemble à un petit cube.
Le premier essai devrait avoir lieu d’ici 2016. En effet, cet engin spatial devrait pouvoir voyager à travers le cosmos grâce à ses voiles captant de l’énergie solaire d’une surface totale de 32 mètres carrés. Selon la responsable de la Planetary Society, Jennifer Vaughn, « les ailes solaires vont nous donner accès à des données scientifiques cruciales sur la Terre ».
Le financement de ce projet sera réalisé par des membres de la Planetary Society, un organisme chargé de la promotion de l’exploration spatiale dont le co-fondateur est le mythique astronome Carl Sagan en 1980 ainsi que par des fonds privés.
Planetary Society n’est pas la seule société à travailler sur ce type projet. L’agence spatiale américaine travaille également au lancement de sa propre voile solaire dénommée le Sunjammer d’ici la fin de l’année.
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