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Des nouvelles sur l'écologie et les technologie vertes
Des nouvelles sur l'écologie et les technologie vertes
mercredi 13 août 2014
La ville de Conques en France se verra bientôt doté d’un parc photovoltaïque. Celui-ci va permettre de fournir de l’électricité à 8 900 personnes.
Le département d’Aude, précisément la ville de Conques, va bientôt accueillir l’un des plus importants parcs photovoltaïques de la France. En effet, ce futur parc photovoltaïque va être bâti sur une superficie de 22 hectares. Sa construction va coûter environ 19 millions d’euros. Le début des travaux est prévu pour la fin de l’année 2015.
Cette centrale aura une production annuelle de 16 millions de kilowattheures en énergie renouvelable, ce qui va permettre de couvrir la consommation d’électricité d’environ 8 900 personnes. Il faut préciser aussi que ce parc va développer une puissance de 12 MWc. La moitié sera produite grâce à des panneaux solaires traditionnels et l’autre moitié, grâce à des panneaux solaires.
Par ailleurs, ce parc photovoltaïque va contribuer à la protection de l’environnement. Grâce à sa production, le rejet de 12 800 tonnes de gaz carbonique dans la nature chaque année va être évité.
Ce projet en plus de son côté écolo va largement contribuer à la création d’emplois. C’est la Compagnie du vent, groupe GDF-Suez, qui est sortie victorieuse de l’appel d’offres. L’entreprise compte donner la priorité à des panneaux solaires qui sont fabriqués en France. Par ailleurs, des entreprises locales vont travailler sur ce projet.
Espérons que d’autres projets de telle envergure vont se développer à Conques-sur-Orbiel ou dans ses environs.
samedi 19 octobre 2013
Voici un nouvel outil particulièrement ingénieux. Inventé par deux Californiens, le FlameStower se définit comme un chargeur disposant d’une entrée USB. Ce dernier fonctionne à l’aide de feu et permet de recharger partout les Smartphones ainsi que les tablettes, même en pleine nature.
Qui a créé le FlameStower ?
Ce projet simple et innovant est le fruit de l’imagination de deux ingénieurs californiens, Andrew Byrnes et Adam Kell. Ces deux hommes se sont connus à l’université de Standford. Ils sont tous les deux spécialisés dans le département des sciences des matériaux. Diplômés en ingénierie, Byrnes et Adam Kell ont suivi un cursus dans les industries tournées vers l’énergie renouvelable.
Rencontrant de nombreuses difficultés lors de leurs expéditions loin des villes, ces deux hommes ont imaginé un prototype qui fonctionne n’importe où. C’est de cette étroite collaboration et d’une imagination plutôt hors du commun que leFlameStower a vu le jour.
Son mode de fonctionnement
Pour actionner le FlameStower, commencer par déplier ses jambes et de verser de l’eau en petite quantité dans son réservoir situé juste au-dessus du générateur thermoélectrique (TEG). Ensuite, une flamme devra être placée sous la lame de l’appareil. Un processus de transformation d’énergie s’enclenchera alors par l’intermédiaire du générateur.
La différence de température (entre la lame et le réservoir d’eau) sera transformée en électricité. Il suffira de brancher le Smartphone à l’entrée USB et la batterie pourra alors commencer à charger. Un chargement complet durera environ 3 heures. Passer un appel de 2 à 4 minutes juste après une minute de chargement sera tout à fait possible.
Les avantages du « stockeur de flamme »
Destiné surtout aux campeurs, le « stockeur de flamme » reste avantageux notamment lors des pannes d’électricité ou des tempêtes. Ce chargeur USB s’utilise aussi bien à l’extérieur d’un édifice qu’à l’intérieur. Il charge tous les Smartphones, la majeure partie des APN hybrides ou compacts et tout autre appareil disposant d’une entrée USB.
Optant pour un design simple, le FlameStower est compact et plus léger que les autres chargeurs existants. Ce chargeur dispose de jambes pliantes et peut se ranger n’importe où (dans une petite pochette, dans un sac à main…). Le gadget peut être utilisé à n’importe quel moment et fonctionne avec toute sorte de flamme (gazière, cuisinière à gaz ou feu de bois). Ce dernier génère une puissance supérieure aux différents générateurs portables (3W au maximum).
mardi 01 octobre 2013
En 2009, les parlementaires européens à Bruxelles ont déclaré qu’ils ont l’intention de mettre en place un chargeur unique adapté à toutes les marques de smartphones et tablettes. Quoique la majorité des fabricants ait cédé à cette requête, Apple, l’un de ces fabricants, essaie toujours de s’esquiver. Malgré sa réticence, Apple ne pourra plus se soustraire à cette décision, car elle vient d’être adoptée.
Une décision approuvée par la Commission européenne
La commission européenne a pris sa disposition et a confirmé sur l’utilisation du chargeur unique pour les tablettes et smartphones, et ce, sans exceptions. Un accord a été signé en 2009 entre la commission et les plus importants fabricants de téléphones pour qu’ils s’engagent à vendre des produits qui s’adaptent parfaitement avec un seul chargeur au format micro-USB. Après cette signature, la commission s’est vite aperçue que tous les signataires n’avaient pas respecté l’accord surtout Apple qui avait apposé sa signature. Une mesure qui fait l’objet d’un projet de loi a été adoptée par la commission pour que le chargeur universel soit obligatoire.
Le but de cette mesure
La commission européenne a pour objectif de diminuer les déchets électroniques. Une réduction de 50 000 tonnes par an de déchets électroniques pourrait être obtenue grâce à l’adoption de cette mesure. Un raisonnement tangible lorsqu’on constate que plusieurs milliards de chargeurs ne servent plus à rien actuellement.
À partir de 2009, cette demande de la commission européenne a été acceptée par 90% des fabricants selon l’estimation. Un bilan prometteur, mais totalement insuffisant. Apple devra suivre les règles et ne pourra plus suggérer des chargeurs uniques si le projet de loi est approuvé. Une épreuve que le fabricant doit endurer, car il a une pratique de se faire remarquer par des objets uniques et très couteux.
vendredi 27 septembre 2013
Désormais, l’énergie inépuisable peut être obtenue à travers la chaleur du corps humain.
Après les différentes énergies utilisées comme l’énergie solaire, la force éolienne et la chaleur terrestre, les batteries peuvent être alimentées par une énergie illimitée. Ann Makosinski, l’adolescente de 15 ans a créé cette lumière révolutionnaire qui fonctionne avec l’énergie de la chaleur du corps humain. Actuellement, elle fait la une des journaux du monde entier. Mais avant d’en arriver là, Ann a été sélectionnée parmi une multitude de candidats qui participent à la finale de l’édition 2013 du Google Science Fair, un concours d’invention destiné aux jeunes de 15 ans à 16 ans et organisé par la firme Mountain View.
Ce concours se déroule annuellement afin de découvrir de nouveaux talents et encourager les jeunes qui sont passionnés et créatifs. Concernant Ann Makosinski, elle a créé un produit révolutionnaire à travers une lampe-torche qui est alimentée simplement par la chaleur de la paume de la main. Cette lampe-torche révolutionnaire est appelée Hallow Flashlight. Elle fonctionne à partir du principe de l’effet Peltier. C'est-à-dire qu’on peut créer de l’énergie en fonction des déplacements de chaleur sur des métaux conducteurs. D’après son explication, il existe plusieurs paires de deux métaux entre deux plaques de céramique. Puisque la partie la plus chaude de la main est la paume, alors c’est sur cette partie qu’elle a concentré le système. C’est très sommaire, car vous n’avez qu’à mettre ces plaques contre la paume de votre main et la torche s'allume. Toujours suivant son explication, c’est à partir de 10 ans qu’elle a commencé à faire des pratiques sur cette invention après plusieurs concours d’inventions qu’elle avait participé. Avec la chaleur produite par votre main, la durée de la lumière de la Hallow Flashlight est de 20 minutes, car d’après son expérience, elle se limitait à cette durée. Elle prévoit de certifier sa création et chercher un moyen pour l’exploiter au final, même si son programme n’est pas encore très précis. Cependant, elle sera attendue le 21 septembre dans les locaux de Google pour connaître le résultat de cette édition du Google Science Fair. Le lot du gagnant est exclusif, car en dehors d’un voyage sur îles Galapagos, ses études seront assurées entièrement.